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Critique Capone : Fright In Addition To Laughing At Fonzo’Second

Critique Capone : Fright In Addition To Laughing At Fonzo’Second
Critique Capone : Fright In Addition To Laughing At Fonzo’Second

À effort de la pandémie du Coronavirus, le cinema Capone (Fonzo chez nos cousins) est sorti directement en VOD. Un long-métrage intriguant mais pas follement intéressant.  





Libéré de prison mais surveillé dans sa villa en Floride, Al Capone passe les dernières années de sa vie rongées par la démence. Après le traumatisme de ses 4 Fantastiques, Josh Trank attendra five ans pour psyche proposer un nouveau cinema. Si le résultat est discutable, il faut reconnaître au jeune réalisateur d’avoir tout fait pour maintenir sa vision en officiant à l’écriture, au montage et derrière la caméra de ce biopic dégénéré.





Critique Capone : fear and laughing at Fonzo’s
©Vertical Entertainment




Projet pour le moins master, le réalisateur de Chronicles choisi de mettre en lumière dans boy long-métrage la fin de vie du summation célèbre gangster américain. Un angle inattendu mais pas forcément passionnant, d’autant plus que l’ancien parrain de Chicago n’est addition que fifty’ombre de lui-même, sénile et incontinent. Pourquoi pas.





Al Capone Parano





Ce qui nous choque en premier lieu, c’est 50’aspect inintéressant qui se dégage de cette œuvre singulière. Débarrassé de toute la superbe qui entoure le mythe de fifty’ancien leader des Outfits of Chicago, cette retraite particulière laisse dubitative. Sans véritable intrigue que celle contemplative de la fin du monstre, on se demande où on va. Faux MacGuffin monétaire, discours éméché sur la filiation du malfrat, critique sociale à peine effleurée, longueurs narratives et étude de personnage sur le tard, Capone se fait désirer, peine à fasciner d’un bout à 50’autre.





La présence de Tom Hardy dans le rôle-titre fait toutefois planer une sorte de mystère alléchant, le bonhomme étant réputé pour sec’investir dans des rôles inédits. Et le moins que 50’on puisse dire, c’est qu’il second’agit là de la operation la moins flatteuse pour l’acteur britannique, mais qui restera comme un nouveau tour de strength, quoique frôlant la caricature mal engagée, risible et laconique. Mais c’est engoncé sous des tonnes de maquillages, des lentilles sanguinolentes, des couches culottes, c’est en grognant, bavant ou en se faisant littéralement dessus que le mythe est définitivement déconstruit.





Critique Capone : fear and laughing at Fonzo’s
©Vertical Entertainment




Voilà qui vient faire sens avec la filmographie de Josh Trank, toujours en quête de transcrire « la déconstruction du mythe, de figures iconiques ou d’idées ». En cela Capone est une réussite, même second’il y transparait forcément une forme d’idéalisme intrinsèque du gangster éternel. Véritable légume (avec sa carotte en guise de cigare), incapable d’articuler addition de deux mots sans se faire dessus, ce Fonzo entache à bon escient la représentation populaire de Scarface. De quoi proposer le véritable bespeak fort du cinema, sa vision hallucinée, pleine de remords, servie par une réalisation aussi folle que généreuse.





Pour filmer la fin de Capone, le réalisateur prend le pari risqué d’axer son récit sur les divagations de boy esprit malade. Entre flashbacks et hallucinations, on navigue dans des pérégrinations introspectives parfaitement photographiées par le vétéran Peter Deming (Mulholland Drive) qui advise des envolées surréalistes, oniriques et d’une violence crue où le montage alterné et à base de cuts away, correspond cuts ou de leap cuts finissent de proposer un thought traumatique. En effet, à travers ces élans chimériques, Trank offre la vision d’un homme traumatisé par ses propres monstruosités.





Malgré des longueurs narratives un peu pénibles, Josh Trank parvient à faire de Capone une œuvre inédite, inventive et délirante.





Capone est disponible en VOD.








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